


Le cercle de la généalogie en pantoufles
Faire de la généalogie avec des experts
Comment maîtriser la généalogie par le réseau Internet avec le programme de généalogie TNG
Notes
Résultats 5,501 à 5,550 de 6,465
# | Notes | En lien avec |
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5501 | Jean Baptiste Benoît est présent avec sa femme un garçon et deux filles au recensement 1755 en Acadie | BENOÎT Jean Baptiste (P47701)
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5502 | Jean-Baptiste Fortin époux de Françoise Bélanger capitaine de milice de l'Islet « fait prisonnier de guerre à la prise de Québec et présentement en Angleterre » Ce fait est confirmé par trois actes du notaire Noël Dupont le 16 septembre 1761 le 7 février 1762 et le 27 janvier 1763 Source La guerre de sept ans ses effets à Rivière-Ouelle MSGCF 47 no 2 été 1996 page 105 | FORTIN Jean Baptiste (P7258)
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5503 | Jeanne est le prénom de sa soeur jumelle décédée en 1730 | DIEL Jeanne (P52858)
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5504 | Jeanne Leblanc se serait remariée à l'âge de 45 ans avec Jean Baptiste Baudi pour lequel aucun renseignement ne semble exister | Famille: BAUDI Jean Baptiste / LEBLANC Jeanne (F25295)
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5505 | JEANNEAU (Geanneau Janot) ÉTIENNE marchand huissier et notaire officier de milice né vers 1668 probablement à « La Tardière » en Poitou fils d'Étienne Jeanneau marchand et de Jacquette Clément (Vincent) - il épousa le 16 août 1694 à Sainte-Famille Île d'Orléans Catherine Perrot - décédé à Rivière-Ouelle sur la rive sud du Saint-Laurent le 8 mai 1743 Nous ignorons en quelle année Étienne Jeanneau arriva en Nouvelle-France mais il y était en 1686 et les documents consultés le qualifient de marchand sans préciser le genre de commerce qu'il pratiquait à Québec Tout ce que nous savonst enons d'affaires avec des négociants de La Rochelle Il demeura dans le commerce jusqu'en 1702 environ quoiqu'il eût quitté Québec depuis 1698 pour s'établir sur une terre achetée cette année-là dans la seigneurie de Rivière-Ouelle Quelques années plus tard le 14 juin 1709 Étienne Jeanneau obtenait une commission d'huissier et de notaire pour exercer dans les seigneuries de Grande-Anse de Rivière-Ouelle de Kamouraska de Rivière-du-Loup et de Port-Joli Cet immenué surve sud du Saint-Laurent était dépourvu de notaire et avant la nomination de Jeanneau les habitants de ces seigneuries devaient s'adresser aux missionnaires ou aux capitaines de milice pour la rédaction des contrats de vente ou autres actes légaux lesquels se retrouvent en partie dans le minutier du notaire Jeanneau Ce dernier exerça en plus les fonctions de subdélégué de l'intendant vu qu'il n'y avait « aucuns juges d'établis » dans les seigneuries de Grande-Anse de Rivière-Ouelle et de Kamouraska L'intendant Bégon l'autorisa à rédiger les actes de tutelle et à présider aux inventaires de biens En 1721 Jeanneau était lieutenant de milice Si Jeanneau exerça ses fonctions à la satisfaction des habitants de son territoire par ailleurs ses voisins immédiats lui cherchèrent querelle à plusieurs reprises et Jeanneau dut se présenter devant le Conseil supérieur pour obtenir ji'unure un droit de passage ou un droit de coupe de bois étaient souvent la cause de ces querelles habituellement verbales - en 1706 cependant une d'elles se termina par des coups et Jeanneau obtint un dédommagement de 100ª pour les coups reçus La carrière notariale de Jeanneau dura plus de 30 ans Il représente le type du notaire ambulant qui devait parcourir un vaste territoire et bien souvent exercer sans y être préparé plus d'une fonction judiciaire et administrative toe cultis terres pour nourrir sa famille Michel Paquin ANQ Greffe de Louis Chambalon 5 août 1694 - Greffe d'Étienne Jeanneau 1674–1743 - Greffe de Guillaume Roger 6 août 1698— Édits ord Il 453— Jug et délib III IV V VI passim— Bonnault Le Canada militaire RAPQ 1949–1951 356— P-G Roy Inv coll pièces jud et not I 40 149 181 - Inv ord int I II passim— Tanguay Dictionnaire— Vachon Inv critique des notaires royaux RHAF X (1956–1957) 101— J-E Roy Historie du notariat I 185–189 © 2000 University of Toronto/Université Laval | JEANNEAU Étienne (P43775)
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5506 | JÉRÉMIE dit Lamontagne NOËL trafiquant commis à la Traite de Tadoussac fils de Claude Jérémie et d'Hélène Macart né à Mareuil-sur-Oge en Champagne (France) en 1629 (d'après le recensement de 1666) en 1636 (recensement de 1667) où en 1638 (recensement de 1681) décédé en Nouvelle-France entre 1694 et 1697 Le 29 janvier 1659 peu après son arrivée au Canada Jérémie épousait à Québec Jeanne Pelletier Déjà il s'intéressait à la traite des fourrures voyageant chez les nations du Nord en compagnie de son beau-frère François Pelletier Le 28 mai 1665 Jérémie s'associait à Charles Annot Guillaume Couture et Sébastien Prouvereau pour faire « voyages aux nations nommées Papinachoises et aux nations du nord » Mais ce commerce ne l'enrichit aucunement Seigneur par concession du gouverneur Dubois Davaugour (4 septembre 1662) de l'île de la Patience qu'il donna plus tard à son parent Pierre Bécart de Grandville Jérémie possédait en plus une maison à la basse ville de Québec don de Charles Aubert de La Chesnaye et une terre à la côte Saint-Ignace où il s'installa à la fin de 1666 où au début de 1667 Or en 1671 après trois années de procédures judiciaires ses deux propriétés de Québec et de la côte Saint-Ignace furent vendues au profit de ses créanciers Peu après il déménagea sa famille à Batiscan où elle se trouvait encore en 1681 En 1694 Jérémie reparaît Il était alors « commis aux traittes de Tadoussac » et sa famille habitait de nouveau la région de Québec Il mourut entre juillet 1694 et juillet 1697 André Vachon AJQ Greffe de Guillaume Audouart 3 févr 1659 - Greffe de Pierre Duquet 28 mai 1665- ANDQ Mariages 1621-67 169- APQ Coll de pièces jud et not 53 78 143 1995 - Seigneuries île de la Patience- ASQ Séminaire VI 20- Jug et délib I III IV- Papier terrier de la Cie des I O (P-G Roy) 115s 159- Recensements de 1666 1667 1681- J-E Roy Histoire de la seigneurie de Lauzon I 223 - II 31- P-G Roy Inv concessions I 217s Bibliographie générale © 1966-2015 Université Laval/University of Toronto | JÉRÉMIE Noël, dit Lamontagne (P54916)
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5507 | Jérôme Guérin est arrivé en Acadie vers 1639 avec son beau-père Guillaume Blanchard | GUÉRIN Jérôme (P7857)
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5508 | JUCHEREAU DE SAINT-DENIS NICOLAS seigneur colonisateur commerçant membre du Conseil de la colonie pour la traite directeur de la Traite de Tadoussac militaire probablement né à La Lande-sur-Eure France vers 1627 fils de Jean Juchereau de Maur et de Marie Langlois décédé à Québec le 4 octobre 1692 Nicolas Juchereau passa au Canada en 1634 avec son père qui avait quelque fortune Son oncle Noël Juchereau Des Chatelets serait venu au Canada probablement deux ans auparavant pour s'occuper des intérêts de la Compagnie des Cent-Associés et devint plus tard commis général de la Communauté des Habitants Nicolas Juchereau jouit de vastes domaines Par concession don ou achat il obtient des terres à Québec à Beauport et à l'île d'Orléans En 1656 il se fait concéder la seigneurie de la Grande Anse (Saint-Roch-des-Aulnaies) comprenant îles et battures où il ne se fait que peu où pas de culture Les Giffard lui concèdent en 1673 le fief Duchesnay comprenant neuf arpents de front sur toute la profondeur de la seigneurie de Beauport - Juchereau voit à son peuplement et à son exploitation C'est pour son fils Joseph âgé de six ans qu'il reçut du gouverneur de Buade de Frontenac en 1679 la seigneurie de Saint-Denis Bien qu'on lui donne parfois le titre de seigneur de Beauport Nicolas Juchereau n'a jamais possédé cette seigneurie C'est son fils Ignace Juchereau Duchesnay qui en reçut don le 17 février 1683 et en prit possession en 1696 Nicolas Juchereau s'occupe aussi du commerce des pelleteries Comme son père il est un temps membre du Conseil de la colonie pour la traite Dès 1649 on le voit partir pour la grande chasse avec les Indiens De 1660 à 1665 il fait plusieurs randonnées dans la région de Tadoussac souvent en compagnie du père Druillettes Il fait partie en 1663 du groupe des 17 Canadiens auxquels le gouverneur Pierre Dubois Davaugour afferme le quart du castor les droits sur la boisson et la Traite de Tadoussac - quand le bail est cassé par le Conseil souverain quelques mois plus tard son frère Jean Juchereau de La Ferté est nommé pour percevoir les droits Nicolas Juchereau sera pendant plusieurs années intéressé dans le bail de Tadoussac et pendant quelque temps directeur de la traite à cet endroit C'est là que le rencontre le père Albanel en 1670 et qu'il obtient de lui deux Français pour compagnons de voyage En 1672 le même missionnaire trouve passage de Chicoutimi à Tadoussac sur le bateau de Nicolas Juchereau qu'il qualifie alors de « capitaine de Tadoussac » En 1679 Juchereau reçut chez lui son beau-frère Charles Legardeur de Tilly membre du Conseil souverain exilé de Québec par Frontenac En 1684 il fut au nombre des 18 notables que l'intendant consulta sur les finances du pays La même année Denis Riverin agent des fermiers de la Traite lui contesta le droit de faire la pêche de chasser et de conduire la traite à son fief Saint-Denis - ces privilèges « oubliés » en 1679 lors de la concession du fief devaient être officiellement accordés à la femme de Juchereau en 1697 Il se distingue aussi comme soldat En 1666 à la tête d'une compagnie de milice il participe à l'expédition du gouverneur Rémy de Courcelle et à celle de M de Prouville de Tracy contre les Iroquois Il gardera par la suite le commandement de cette compagnie Quand Phips attaque Québec en 1690 Nicolas Juchereau est posté avec ses quelque 80 miliciens au point de débarquement des troupes anglaises avec mission de les harceler et de barrer leur route Il se fait casser un bras d'un coup de feu alors qu'il tente de repousser les envahisseurs Les milices de Beauport et de Beaupré s'étant rendues maîtres de six canons ennemis il en reçoit un comme trophée En février 1692 il est anobli en récompense de ses services comme colonisateur et soldat Il décéda à Québec le 4 octobre 1692 et fut inhumé au cimetière de Beauport Le 22 septembre 1649 il avait épousé Marie-Thérèse Giffard dont il eut 12 enfants Sa femme mourut en 1714 Bernard Weilbrenner AN Col C11A 6 ff437s Déclaration de Nicolas Juchereau sur la traite de Tadoussac 18 oct 1684- Coll de manuscrits relatifs à la Nouv-France I 523 - II 53- JR (Thwaites)- Jug et délib passim- Papier terrier de la Cie des I O (P-G Roy) - P-G Roy Inv concessions I-III [Mme Pierre [FL] Montagne Tourouvre et les Juchereau (Québec 1965)] Bibliographie générale © 1966-2015 Université Laval/University of Toronto | JUCHEREAU Nicolas, dit Sieur de S.Denis (P55158)
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5509 | Jumeau | THIBIERGE Jacques (P54649)
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5510 | Jumeau de son frère Jacques-Charles Hédouin | HÉDOUIN Pierre II (P41893)
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5511 | Jumelle | THIBIERGE Charlotte (P6337)
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5512 | Jumelle de sa soeur Anne | RICHARD Madeleine (P7448)
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5513 | Jumelle de sa soeur Anne | BRUNET Catherine (P52920)
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5514 | Jumelle de sa soeur Madeleine | RICHARD Anne (P7447)
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5515 | Jumelle de sa soeur Marie Charlotte décédée à cinq mois | DUBÉ Marie Charlotte (P54175)
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5516 | L'ancêtre Guillaume Trahan en Acadie - Guillaume Trahan fils de Nicolas Trahan et de Renée Desloges naquit à Bourgueil vers 1606 Le 17 juillet 1627 dans l'église Saint-Etienne de Chinon il épouse Françoise Corbineau Chinon est située à 15 km environ au sud-est de Bourgueil à 50 km au sud-ouest de Tours En 1636 il émigre en Acadie Sur le rôle d'embarquement du Saint-Jean parmi les « paysans d'Anjou » qui vont « travailler en la Nouvelle-France » on lit cette mention « Guillaume Trahan mareschal de tranchant avec sa femme et deux enfants et un valet aussi de Bourgueil » Le maréchal de tranchant était un artisan qui fabriquait toutes sortes d'outils tranchants haches couteaux faux serpettes faucilles ciseaux de menuisier etc et même des ustensiles de table comme couteaux fourchettes cuillères etc Il fut l'un des citoyens les mieux notés de Port-Royal En 1640 d'Aulnay le chargeait conjointement avec Germain Doucet dit La Verdure et Isaac Pessely d'informer contre Charles de La Tour et le 16 août 1654 à titre de syndic des habitants il signait l'acte de capitulation de Port-Royal Vers 1665 il épouse Magdeleine Brun fille de Vincent Brun et de Renée Brault Ginette Arpin - 2008 Contrecoeur | TRAHAN Guillaume (P7544)
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5517 | L'époux a 53 ans et l'épouse 48 ans | Famille: LEBLANC Antonio / LAFRANCE Lucia (F15950)
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5518 | L'époux aurait 17 ans et l'épouse 16 ans | Famille: MATTE Eugène / LAFRANCE Lucia (F16010)
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5519 | L'époux déclare 21 ans et l'épouse 23 ans | Famille: DEGUIRE Louis, dit Larose / COUSINEAU Marie Louise (F16804)
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5520 | L'époux est dit âgé de 20 ans | Famille: GAUDET Bernard / THÉRIAULT Jeanne (F3494)
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5521 | L'un des plus importants négociants d'Acadie il fut ruiné par les guerres d'Acadie et mis hors-la-loi par les Anglais Il se réfugia à Beaubassin en 1744 puis à SPierre-du-Nord Île-SJean en 1749 Il est décédé le 1er avril 1752 à la source à Bélair (Hillsboro Île du Prince-Édouard) du côté nord de la Rivière-du-Nord-Est à l'Île-SJean | GAUTHIER Nicolas (P3641)
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5522 | La Rochelle Poitou-Charentes Charente-Maritime FR | GIGNARD Laurent (P33146)
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5523 | Laboureur à Tourouvre originaire de Malétable | GAGNON Jean (P9189)
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5524 | LARUE GUILLAUME DE engagé menuisier notaire juge seigneurial originaire de la paroisse Saint-Maclou (Rouen) né vers 1636 fils de Guillaume de Larue et de Marie Pouilliot inhumé à Sainte-Anne de la Pérade le 9 janvier 1717 Comme il possède une bonne instruction Larue devient l?homme de confiance des Jésuites en leur seigneurie du Cap-de-la-Madeleine À partir de 1662 il est successivement huissier procureur fiscal greffier commis-greffier En 1664 il dn et esé notaire seigneurial puis en 1673 juge au même endroit Il est aussi qualifié dans quelques actes « juge prévost » de la seigneurie de Batiscan Ces fonctions d'homme de loi ne lui font pas négliger son métier de menuisier Aussi ses services sont fort en demande pour la construction de moulins granges et maisons Quelques-uns de ses plans et devis de construction de maisons ont été conservés et dénotent une minutieuse précision Guillaume de Larue exerce la profession de notaire de 1664 à 1689 On a conservé au palais de justice de Trois-Rivières son greffe s'échelonnant du 9 janvier 1664 au 18 avril 1676 et renfermant 140 actes Le reste a été détruit ou perdutes ft toutefois aux registres d'insinuation et des copies collationnées se trouvent dans les greffes d'autres notaires De son mariage avec Marie Pépin en 1663 naissent sept enfants Vers 1700 il se retire chez son fils Étienne près de Batiscan et y meurt en 1717 Raymond Douville AJTR Greffe de Séverin Ameau - Greffe de Jean Cusson - Greffe de Claude Herlin - Greffe de Laurent Du Portail - Greffe de Jacques de La Touche- Jug et délib I II V VI passim- P-G et A Roy Inv greffes not II 248 - XI 71- Archange Godbout Origines des familles canadiennes-françaises (Lille 1925)- Les notaires au Canada RAPQ 1921-22 22- Tanguay Dictionnaire I 351- Vachon Inventaire critique des notaires royaux RHAF X (1956) 261- Cloutier Histoire de la paroisse de Champlain I- J-E Roy Histoire du notariat I 200 210 230- Émile Vaillancourt La conquête du Canada par les Normands (Montréal 1930) © 2000 University of Toronto/Université Laval | LARUE Guillaume (P17952)
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5525 | LAUSON GILLES colon montréalais ancêtre de tous les Lauzon du Canada et des États-Unis né dans la paroisse de Saint-Julien de la ville de Caen (France) en 1631 fils de Pierre Lauson et d’Anne Boivin décédé à Montréal en 1687 Lauson exerçait le métier de chaudronnier dans lequel il était passé maître quand il débarqua au Canada en 1653 avec la grande recrue emmenée de France par Chomedey de Maisonneuve Décidé à s’établir à Ville-Marie Lauson achetait d’Urbain Tessier dit Lavigne en mars 1655 50 perches de terre et une maison À cette propriété vinrent s’ajouter par concessions de Maisonneuve le 20 août suivant 30 arpents « au dessoubs du costeau Saint-Louis » et un arpent « dans l’enclos de la ville » Désormais en mesure de faire vivre une femme et des enfants Lauson épousa à Ville-Marie le 27 novembre 1656 Marie Archambault âgée de 12 ans fille de Jacques Archambault et de Françoise Toureault Bon citoyen Lauson s’enrôla en 1663 dans la milice de la Sainte-Famille et occupa du 5 janvier 1670 au 11 janvier 1672 la charge de marguillier de la paroisse de Montréal Marie Archambault décéda le 8 août 1685 laissant 13 enfants - le 21 septembre 1687 Lauson mourait à son tour André Vachon R-J Auger La Grande Recrue de 1653 (Montréal 1955) 79s- L Lauzon Un Pionnier de Ville-Marie Gilles Lauzon et sa postérité (Québec 1926) | LAUZON Gilles (P18231)
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5526 | Le monument Gagnon dans l'Île d'Orléans - Robert Gagnon était originaire de La Ventrouse dans la province française du Perche Il était fils de Jean Gagnon et de Marie Geffray Le dimanche 2 avril 1656 alors qu'il était sans doute au Canada déjà depuis un an il recevait une concession « du nombre de quatre arpents de terre à prendre dans l'Île d'Orléans en la Seigneurie de Lauzon tenant d'un côté à Jacques Perrot et d'autre à Guillaume Landry » Un an plus tard le mercredi 3 octobre 1657 Robert Gagnon épousait à Québec Marie Parenteau Les jeunes époux s'établirent évidemment sur la terre qui avait été concédée à l'ancêtre Ils devaient y demeurer toute leur vie Les recensements dressés en 1666 1667 et 1681 trouvent donc toujours les Gagnon établis sur leur ferme de l'Île d'Orléans Ils nous illustrent aussi par des chiffres les agrandissements progressifs de la ferme familiale Le rapport de 1667 décritavec détails la situation exacte de la famille Gagnon pour cette année « Robert Gagnon 35 ans - Marie Parentelle sa femme 25 - Jean 8 Isabelle 6 Jacques 1 - 7 bêtes à cornes et 15 arpents défrichés » En 1681 les terres de Robert Gagnon étaient de vingts arpents Robert Gagnon fut inhumé le dimanche 2 septembre 1703 Il laissait après lui six enfants dont trois garçons qui se marièrent En 1909 une croix commémorative a été dressée sur la terre même qu'occupa Robert Gagnon en hommage à ce valeureux et courageux pionnier Cousin germain de Marguerite Aubert mariée à Martin Grouvel - cité le 11041657 à Québec [AG-FNF MSGCF III (3):175-182 MSGCF (111):23-33] | GAGNON Robert (P7234)
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5527 | Le prêtre a écrit « Nouévonne » Beaucoup de familles acadiennes avaient été déportées à New Haven au Connecticut | HÉBERT Osithe (P53815)
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5528 | Le registre paroissial est en très mauvais état et cet acte de baptême n'est pas vraiment clairement lisible | SÉDILOT Jean, dit Montreuil (P53756)
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5529 | Les Bois-Brûlés furent une communauté humaine constituée de Métis issues de l'union d'Amérindiens et de Canadiens-français au cours du XIXe siècle dans le territoire des futures provinces du Manitoba et de la Saskatchewan Les trappeurs coureurs des bois et colons canadiens-français qui émigrèrent vers les nouvelles contrées de l'Ouest Canadien s'unirent aux membres des diverses tribus amérindiennes et donnèrent naissance à une génération nouvelle dénommée dès le XVIIIe siècle « Sang Mêlé » et qui reçut le siècle suivant le surnom de « Bois-Brûlé » à cause de la couleur de leur peau Plus tard vers le milieu du XIXe siècle ils s'appelleront « Métis » Dès le début du XIXe siècle les Métis prennent conscience qu'ils forment de plus en plus une communauté différente de celle des Canadiens d'origine européenne et de celle des Amérindiens notamment grâce au chef métis Cuthbert Grant C'est à ce moment-là qu'ils commencent à s'identifier comme « Nation des Bois-Brûlés » et plus tard comme la « Nation Métis » Les principaux chefs des Bois-Brûlés furent Louis Riel père et fils | MARIE François, dit Sainte-Marie (P53145)
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5530 | Les deux époux auraient déclaré 21 ans mais Marguerite André a 25 ans dans les faits | Famille: VINET François / ANDRÉ Marguerite, dit Saint-Michel (F16803)
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5531 | Les deux époux sont mineurs (moins de 21 ans en 1917) | Famille: MATTE Eugène / LAFRANCE Lucia (F16010)
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5532 | Les pères et les mariés ont signé avec nous -Par THDélâge ptre curé | Famille: LAVIGNE George, dit Tessier / LAPLANTE Rosiane (F9)
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5533 | LEVASSEUR dit Lavigne JEAN « maître-menuisier de Paris » premier huissier du Conseil souverain ne en 1622 fils de Noël Levasseur et de Geneviève Grange inhumé à Québec le 31 août 1686 Grand-père du sculpteur Noël Levasseur* il a été l’un des fondateurs de la Confrérie de Sainte-Anne à l’église paroissiale de Québec En 1648 il épouse à Paris Marguerite Richard fille d’un maître lapidaire et de Jeanne Bonnet Il est probablement arrivé à Québec en 1651 avec le gouverneur Jean de Lauson Le 13 août 1654 le père Jérôme Lalemant et les marguillierseent à Jeasseur l’entretien de l’église paroissiale notamment des croisées de l’édifice « en luy fournissant le papier et l’huile » moyennant le salaire quotidien de 30s En 1655 Louis d’Ailleboust lui octroie deux concessions l’une en la censive de Québec l’autre en la seigneurie de Coulonge Trois ans plus tard Louis d’Ailleboust lui octroie une autre concession cette fois sur le versant nord de l’î Marguerite Richard a laissé des biens à Paris Il s’agit d’une maison sise rue Guérin-Boisseau quartier Saint-Nicolas-des-Champs « où pend pour enseigne les image de Ste Barbe Sainte Anne et Saint François » À deux reprises le 13 aoû8ectobr0 elle autorise son mari à aller vendre cet immeuble Il semble que le voyage de Jean Levasseur en France a eu lieu à l’automne de 1660 puisque à Québec le 31 octobre de cette année Levasseur s’engage a payer à l’acquit de Raymond Pagé dit Carcy la somme de 150ª à « Nicolas Marsollet en la ville de Rouen en son domicile qui est au bas de la rue de la Vicomté au logis du Sieur de la Marre MP serrurier » Cet acte d’obligation a été annulé mais il est certain que Levasseur a fait le voyage en France avec son fils Louis alors âgé de dix ans - le 18 septembre 1662 Louis Levasseur est en pension à Montreuil-sous-Bois chez Gilles de Beddé La fonction d’huissier du Conseil souverain que Jean Levasseur assume bientôt ne lui permet guère d’exercer assidûment son métier Il devient en quelque sorte un intermédiaire entre les menuisiers et le gouvernement de la Nouvelle-Franca spion immobilière – comme on peut le constater par quelques actes des notaires Duquet et Rageot Au contrat de mariage de sa fille Anne-Félicité avec Jean Hamel 23 avril 1685 Jean Levasseur est dit absent à cause d’incommodité Gérard Morisset AJQ Greffe de Guillaume Audouart 13 août 1654 20 oct 1655 - Greffe de Pierre Duquet 1663–84 passim - Greffe de Gilles Rageot 1666–1702 passim— ASQ Documents Faribault - Séminaire passim— IOA Dossiers Levasseur— JR (Thwaites)-P-G Roy Inv concessions— Marius Barbeau Les Le Vasseur maîtres menuisiers sculpteurs et statuaires (Québec circa 1648–1818) Les Archives de Folklore III (1948) 35–49— D Levack La Confrérie de Sainte-Anne à Québec (Sainte-Anne-de-Beaupré 1956)— Tanguay Dictionnaire © 2000 University of Toronto/Université Laval | LEVASSEUR Jean, dit Lavigne (P8480)
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5534 | LEVASSEUR dit L’Espérance PIERRE menuisier né en 1629 fils de Noël Levasseur et de Geneviève Grange mort après 1681 Frère de Jean Levasseur et grand-père du sculpteur sur bois Pierre-Noël Levasseur Le 23 octobre 1655 il épouse à Québec Jeanne de Chaverlange fille d’Antoine de Chaverlange et de Marthe Guérin de Saint-Ursin (près de Bourges) Le couple a eu huit enfants Levasseur a été l’un des fondateurs de la Confrérie de Sainte-Anne à l’église paroissiale de Québec Le 4 mars 1657 il fait l’acquisition d’une terre sise en la censive de la Compagnie de la Nouvelle-France Vers 1661 avant même de se pourvoir d’un titre de propriété il construit une maison et ses dépendances sur une terre de la seigneurie d’Argentenay en l’île d’Orléans - mais comme il « n’a pas trouvé occasion de se pouvoir habituer audit lieu pour cause d’incommodités qui s’y rencontrent tant pour luy que sa famille » il se désiste de ses droits en faveur de Vincent Chrétien moyennant la somme de 140i En 1674 Pierre Levasseur travaille à la menuiserie de l’église de Beauport On le sait par la relation d’une querelle entre le menuisier et Robert Mossion tailleur d’habits de Québec À cause d’une dette de 35i 5s pour fourniture de marchandises Levasseur est condamné à la saisie de sa créance sur la fabrique de Beauport Gérard Morisset AJQ Greffe de Guillaume Audouart 4 mars 1657 26 août 1663 - Greffe de J-B Peuvret de Mesnu 1er et 25 nov 1648- P-G Roy Inv Coll pièces jud et not I II- Marius Barbeau Les Le Vasseur maîtres menuisiers sculpteurs et statuaires (Québec circa 1648–1818) Les Archives de Folklore III (1948) 35-49- D Levack La Confrérie de Sainte-Anne à Québec (Sainte-Anre-de-Beaupré 1956)- Tanguay Dictionnaire © 2000 University of Toronto/Université Laval | LEVASSEUR Pierre, dit Lespérance (P48435)
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5535 | Lieu d'origine inconnu | LEPER Anne (P45088)
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5536 | Lieu du mariage incertain - pourrait être à l'Île d'Orléans | Famille: CÔTÉ Mathieu / GRAVEL Élisabeth (F10443)
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5537 | LITALIEN | DELÉTOILE Anne (P52796)
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5538 | LORIT (Lori Lorry Lorris) dit Gargot FRANÇOIS colon huissier et sergent au bailliage de Montréal né vers 1646 à Celle évêché de Poitiers fils de César Lory et de Richarde Grimère inhumé à Lachine le 6 janvier 1702 Lorit arriva au pays comme engagé volontaire en 1664 et fut dirigé vers la seigneurie des Jésuites au Cap-de-la-Madeleine Sans doute à cause de son infirmité vocale qui l'a fait surnommer « Gargot » les religieux se prirent de sympathr dè3 mars 1665 ils lui accordèrent une concession dans leur seigneurie de Batiscan concession qu'il revendit le 3 décembre 1666 à Nicolas Rivard Il chercha sans y réussir à s'établir dans les seigneuries avoisinantes François Lorit n'avait pas la vocation de défricheur il ne se sentait à l'aise que dans l'ambiance des hommes de loi Assez instruit il était une aide précieuse aux gens illettrés de son voisinage Il fut plusieurs années huissier en la juridiction du Cap - à la même époque il servit de témoin lors de nombreux contrats notariés et d'arbitre dans des contestations Ces divers emplois étaient loin de l'enrichir et pour éviter la visite d'un collègue huissier il dut vendre en 1680 le seul bien qui lui restait une concession à Champlain à peine défrichée Il gagna ensuite l'île de Montréal où le recensement de 1681 signale sa présence celle de sa femme et de ses trois enfants Il est nommé dans les actes officiels sergent du bailliage de Montréal huissier et parfois « vice-gérant » À cesétailtré dans la vie privée d'à peu près toutes les familles de la colonie C'est ainsi qu'il eut charge de livrer en 1687 et 1688 quelques-unes des nombreuses significations légales faisant suite au procès intenté à Pierre Le Moyne d'Iberville pour avoir abusé de Jeanne-Geneviève Picoté de Belestre François Lorit avait épousé à Québec le 1er octobre 1670 une fille du roi Perrette Parement originaire de Troyes et ils eurent quatre enfants dont deux fils Il se remaria le 29 janvier 1685 avec Marie-Thérèse Le Gros Raymond Douville AJM Greffe d'Antoine Adhémar 17 sept 1674 19 oct 1701 - Greffe de Claude Maugue 2 mai 6 août et 24 août 1682 3 août 1689 - AJTR Greffe de Jean Cusson 10 oct 1676 - Greffe de Jacques de La Touche - Jug et délib II III passim - É-Z Massicotte La maréchaussée à Montréal BRH XXII (1916) 17 © 2000 University of Toronto/Université Laval | LORY François, dit Gargot (P45050)
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5539 | Luce Puyse | PIUZE Luce (P52232)
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5540 | Madeleine Martin était à Port-Toulouse en 1752 chez son gendre André Temple | MARTIN Madeleine (P7203)
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5541 | MADRY JEAN chirurgien de la garnison de Trois-Rivières lieutenant et commis du premier barbier et chirurgien du roi né vers 1625 et mort en 1669 Il passa au Canada vers 1651 et de 1653 à 1655 il fut caporal de la garnison et chirurgien du fort à Trois-Rivières Établi à Québec en 1657 il s’embarquait pour la France à l’automne Le 2 avril 1658 François de Barnoin premier baruurdait lrise et l’autorisait à l’accorder à d’autres Toutefois les lettres ne furent entérinées qu’en novembre 1663 Le 10 du même mois Madry devenait lieutenant et commis de Barnoin et obtenait de ce fait des pouvoirs de police sur les chirurgiens de la colonie Madry était marguillier de Notre-Dame de Québec en 1663 Le 7 octobre Claude Charron et lui devinrent les deux premiers échevins de la ville - ils devaient être révoqués peu après pour être remplacés par un syndic Madry avait aussi été ps draite de Tadoussac par un bail du 4 mars résilié le 4 octobre suivant Le 13 octobre 1668 il rend foi et hommage à Mgr de Laval* au nom des religieuses de l’Hôtel-Dieu pour leur arrière-fief Saint-Laurent de l’île d’Orléans Madry mourut noyé le 26 juillet 1669 lors d’un voyage à Trois-Rivières et il fut inhumé au cimetière des pauvres de l’Hôtel-Dieu de Québec selon un désir qu’il avait exprimé Madry fut un bon chirurgien Il semble cependant avoir eu un caractère assez têtu violent et autoritaire si l’on en juge par son obstination à refuser la tutelle des enfants mineurs de Guillaume Gauthier dont il était le cousin par sarêchem’il essaya de mettre au mariage de Pierre Rouffray sous prétexte que Rouffray était « son serviteur domestique lui ayant esté distribué par l’ordre du Conseil » Comme plusieurs de ses confrères de l’époque Madry se présenta souvent devant le Conseil souverain pour réclamer des honoraires – qu’il estimait lui être dus On le retrouve à plusieurs reprises poursuivant pour d’autres raisons mais la plupart du temps pour des questions pécuniaires Il avait épousé à Québec le 19 janvier 1660 Françoise Duquet âgée de 15 ans sœur du notaire Pierre Duquet - il n’eut pas d’enfant Après la mort du chirurgien sa femme se remaria en 1670 avec Olivier Morel* de La Durantaye conseillel souverdry possédait le fief du Grand-Pré à la Canardière que les Jésuites lui avaient concédé en 1659 Plus tard il devait y construire la maison que l’on appela le château Bigot Gabriel Nadeau Jug et délib I— Ahern Notes pour l’histoire de la médecine— Boissonnault Histoire de la faculté de médecine de Laval 55s— Raymond Douville Chirurgiens Barbiers-chirurgiens et Charlatans de la région trifluvienne sous le Régime français Cahiers des Dix XV (1950) 110s— J-E Roy Jean Madry BRH XX (1914) 156s— P-G Roy L’Île d’Orléans (Québec 1928) - La Ville de Québec © 2000 University of Toronto/Université Laval | MADRY Jean (P40400)
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5542 | Major des milices de la côte du sud en 1730 | GUIMOND François (P7083)
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5543 | Manifestement Antoine Beaujean n'a pas eu la chance d'épouser Marie Brazeau qui a eu deux enfants naturels de lui l'un Antoine né et décédé en bas âge en 1691 et l'autre Joseph dit Guérin Beaujean né en 1693 Antoine Beaujean a été assassiné par les Iroquois vers le 23051693 probablement pendant une excursion comme engagé de l'Ouest et n'a probablement jamais connu son fils survivant Joseph Guérin Marie Brazeau était dite alors veuve Guérin (Sylvain Guérin d'Amboise en Touraine qui n'est pas venu au Canada) | BEAUJEAN Antoine (P37326)
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5544 | MARGUERIE DE LA HAYE FRANÇOIS interprète né à Rouen (Normandie) où il fut baptisé le 12 octobre 1612 fils de François Marguerie bourgeois et avironnier et de Marthe Romain noyé à Trois-Rivières le 23 mai 1648 et inhumé à Québec Une des figures les plus intrépides des débuts de la colonie François Marguerie fut nommé par les Indiens « l’homme double » parce qu’il s’était créé chez eux la réputation d’être le Visage Pâle le mieux adapté à leurs coutumes et à leui lations des Jésuites ne signalent sa présence au pays qu’en 1636 il est possible comme le prétendent quelques historiens qu’il ait été au Canada avant 1629 et qu’il soit allé se réfugier chez les Algonquins pendant l’occupation de la colonie par les Kirke se familiarisant ainsi avec le mode de vie et la langue de cette tribu Marguerie passa l’hiver de 1635–1636 à l’île aux Allumettes et le 28 mars il arrivait au pays des Hurons en compagnie de quatre Algonquins dont Tessouat (mort en 1636) apportant aux missionnaires des nouvelles du monde civilisé La syme queémoignaient les Peaux Rouges fut fort utile aux Jésuites à qui il servait de guide et d’interprète dans leurs randonnées et leurs tentatives d’évangélisation Durant les années 1637–1640 il ne s’éloigna guère toutefois de Trois-Rivières et on sait qu’il était interprète en chef à cet endroit de 1642 à 1648 Au mois de février 1641 il se rendit à la chasse dans les bois environnants en compagnie d’un autre spécialiste des langues indiennes Thomas Godefroy - ils furent faits prisonniers par un groupe d’Iroquois et emmenés dans leur village Ls yrèrent plusieurs semaines et en profitèrant pour se familiariser davantage avec la langue iroquoise Au cours de leur captivité les deux prisonniers se rendirent compte que les Iroquois préparaient pour le début de l’été une descente vers Trois-Rivières et qu’ils se serviraient des deux Français comme guides et appât Ces derniers imagén pour déjouer la tactique indienne Lorsque le groupe fut rendu en face de Trois-Rivières de l’autre côté du fleuve Marguerie s’offrit d’aller lui-même négocier avec les autorités du bourg Thomas Godefroy devait être gardé en otage et Marguerie donna sa parole d’honneur de revenir se constituer prisonnier s’il n’obtenait aucun résultat Le 5 juin il se présentait au fort et sans penser à sa sécurité personnelle il dissuada le gouverneur M de Champflour d’accepter les propositions iroquoises car elles cachaient un piège Puis il retourna se livrer aux Indiens Pendant ce temps les autorités trifluviennes délibérèrent et décidèrent d’envoyer Jean Nicollet et le père Ragueneau tenter des négociations avec les Iroquois Finalement on en arriva à une entente et les deux captifs furent libérés Leur audace et leur courage avaient contribué à sauver la colonie de Trois-Rivières Tous deux devaient bientôt mourir de façon tragique François Marguerie se noya avec un compagnon Jean Amiot le 23 mai 1648 - son canot avait chaviré dans le fleuve en face de Trois-Rivières Godefroy fut torturé à mort quatre ans pluerablea colonie que la mort de ces deux jeunes gens note la Relation de 1648 « Deux jeunes François qui ont esté bien regrettez en ce pays tant pour leur vertu que pour la conoissance quils avoient des langues » François Marguerie avait épousé à Québec le 26 octobre 1645 Louise Cloutier fille de Zacharie Cloutier pionnier de Beauport Ils n’eurent pas d’enfants Sa veuve épousa Jean Mignot dit Chatillon puis Jean-Pierre Mataut Raymond Douville JR (Thwaites) X 320s - XXI 20–58 - XXII 136— Papier terrier de la Cie des I O (P-G Roy) 301— Desrosiers Iroquoisie— Godbout Les Pionniers de la région trifluvienne— Sulte Chronique trifluvienne (Montréal 1879)— Albert Tessier Les Trois-Rivières Quatre siècles d’histoire 1535–1935 (Trois-Rivières 1934) © 2000 University of Toronto/Université Laval | MARGUERIE François (P6930)
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5545 | Mariage à la gaumine en 1709 à Longueuil | Famille: DESNOYERS Jean, dit Desmarais / MÉNARD Thérèse (F13821)
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5546 | Mariage avant cette date | Famille: PARENT Étienne / CHEVALIER Marie (F25043)
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5547 | Mariage célébré à Beauport | Famille: LIZOT Guillaume / PELLETIER Anne (F3202)
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5548 | Mariage célébré à Beauport | Famille: PELLETIER Jean, dit Gobloteur / LANGLOIS Anne (F3345)
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5549 | Mariage célébré à Beauport | Famille: TRÉPANIER Romain / DROUIN Geneviève (F3413)
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5550 | Mariage célébré à Beauport | Famille: LANGLOIS Germain / CHALIFOU Jeanne II (F3420)
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