


La généalogie de Ginette
par Ginette Hardy, généalogiste
Notes
Résultats 1,601 à 1,650 de 1,977
# | Notes | En lien avec |
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1601 | Mariage célébré chez Marin Boucher | Famille: HOUDE Louis / BOUCHER Marie Madeleine (F3427)
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1602 | Mariage célébré dans la chapelle de Beauport précisé au Registre de Notre-Dame de Québec. | Famille: VALADE Guillaume / ASSELIN FRANÇOISE (F243)
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1603 | Mariage célébré dans le Limousin, France | Famille: / PASQUAU Marguerite (F118)
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1604 | Mariage chez Jean Guyon, père de l'époux | Famille: / COLIN Catherine (F3580)
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1605 | Mariage par : Gilles Rageot à l'Ancienne Lorette | Famille: AUVRAY Jacques / MEZERAY Marie Catherine (F22760)
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1606 | Marie Catherine Mezeray se remarie en 1712 avec François Darveau. | Famille: AUVRAY Jacques / MEZERAY Marie Catherine (F22760)
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1607 | Marie Thérèse Dugué est dite coseigneresse du dit Pierre Brien, femme de Charles Gaspard Pillon, chevalier. | Famille: / DESROCHES Élisabeth (F269)
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1608 | Marie Thérèse Dugué est dite partenaire du dit Pierre Brien. | Famille: BRIEN Pierre I, DIT DESROCHERS / DESROCHES Élisabeth (F298)
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1609 | Marie Thérèse Dugué, de Boisbriand, dite coseigneuresse du dit Piere Brien avec Charles Gaspard Billot chevalier , Seigneur de la Croiserie. | Famille: / DESROCHES Élisabeth (F269)
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1610 | MARTIN, ABRAHAM, dit « l'Écossais » ou « Maître Abraham », pilote, né en France en 1589, mort à Québec le 8 septembre 1664. Martin arriva en Nouvelle-France vers 1620 avec sa femme, Marguerite Langlois, sa soeur Françoise et son beau-frère Pierre Desportes, les parents d'Hélène Desportes). Martin a pu être d'ascendance écossaise, ou il a pu prendre le sobriquetl, soit qu'il fît partie d'une organisation clandestine : ces noms étaient employés pour masquer l'identité des déserteurs, ou celle des membres d'une organisation illégale au cas où ses documents seraient saisis. Il est également possible qu'on l'ait appelé ainsi parce qu'il avait accompli plusieurs voyages en Écosse durant sa jeunesse. On n'est pas absolument sûr qu'il ait été pilote officiel, encore qu'on lui ait parfois donné le titre de « pilote du roi » de son vivant. En tout cas, il est prouvé qu'il se livra à la pêche jusque dans le golfe du Saint-Laurent. Les plaines d'Abraham seraient ainsi appelées à cause de lui. Une anecdote pittoresque rapporte que la « Côte d'Abraham » était le sentier emprunté par Martin pour descendre à la rivière Saint-Charles abreuver ses animaux. Son domaine co2s en tout, 12 arpents octroyés par la Compagnie de la Nouvelle-France en 1635 et 20 reçus en cadeau du sieur Adrien Du Chesne, chirurgien naval de Pierre Legardeur de Repentigny en 1645. Cette propriété fut vendue par la famille Martin aux Ursulines en 1667. Il est possible qu'il s'agisse du même Martin employé par Jean de Biencourt et Du Gua de Monts comme navigateur sur la côte de l'Acadie, bien qu'il fût alors très jeune. Lorsque David Kirke prit Québec en 1629 et laissa son frère Lewis comme gouverneur jusqu'en 1632, Martin et sa famille demeurèrent à Québec. Plus tard, Martin baissa dans l'estime de ses concitoyens, lorsqu'il fut accusé de conduite répréhensible envers une jeune fille de Québec. Il fut emprisonné le 15 février 1649 pour ce motif. Les archives indiquent qu'Abraham Martin et Marquerite Langlois eurent neuf ou dix enfants. Anne Martin, née en France et mariée le 17 novembre 1635 à Jean Côté, n'était probablement pas la fille d'Abraham. Eustache, baptisé le 24 octobre,e premier Canadien de naissance. Marguerite, née le 4 janvier 1624 et mariée le 22 mai 1638 à Étienne Racine, eut de nombreux descendants, y compris, les deux évêques Racine. Hélène, née le 21 JUN 1627, était la filleule de Samuel de Champlain. Elle épousa d'abord Claude Étienne, en 1640, puis Médard Chouart Des Groseilliers, le 3 septembre 1647. Charles-Amador*, né le 7 mars 1648, filleul de Charles de Saint-Étienne de La Tour, fut le second prêtre né au Canada. Il est possible que le frère Dominique Scot, mentionné dans les Relations des Jésuites comme s'étant rendu en Huronie encore jeune homme, ait également été l'un de ses fils. On peut aussi supposer qu'un jeune homme qui est désigné comme s'étant rendu en Huronie à la même époque, 1634?1635, fut Eustache Martin. Henry B. M. Best Coll. de manuscrits relatifs à la Nouv.-France, I : 61.? JR, Thwaites).? P.-B. Casgrain, La Fontaine d?Abraham Martin et le Site de son habitation, MSRC IX, 1903), sect. i : 145?155.? Dionne, Champlain.? A. G. Doughty and G. W. Parmelee, The siege of Quebec and the battle of the Plains of Abraham, 6 vol., Quebec, 1901),II : 289?309.? John Knox, An historical journal of the campaigns in North America for the years 1757, 1758, 1759 and 1760, ed. A. G. Doughty, 3 vol., Champlain Séc., VIII-X 1914?16), II : 97, note.? J. M. LeMoine, The Scot in New France, an ethnological study, Montreal, 1881).? É.-Z. Massicotte, Au sujet d?Anne Martin, BRH, XXVIII, 1922, : 116s.? Léon Roy, Anne Martin, épouse de Jean Côté, BRH, XLIX, 1943, : 203s.? P.-G. Roy, La Ville de Québec. © 2000 University of Toronto/Université Laval | MARTIN Abraham, dit L'Écossais (I8156)
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1611 | MESSIER, dit Saint-Michel, MICHEL, lieutenant de milice, seigneur, traiteur, né en 1640 à Saint-Denis-le-Thiboult dans le diocèse de Rouen, fils de David Messier et de Marguerite Bar, inhumé le 3 novembre 1725 à Sainte-Anne de Varennes. Messier semble être passé en Nouvelle-France avec la recrue de Chomedey de Maisonneuve qui arriva à Ville-Marie au milieu de novembre 1653. Son oncle Jacques Messier, sa tante Martine Messier, épouse d?Antoine Primot, et sa cousine, Catheee et d?Élisabeth Messier de Saint-Denis-le-Thiboult, adoptée par les époux Primot, s?y trouvaient déjà. Quoique son nom ne figure pas sur le rôle des engagés, il dut faire la traversée avec eux puisque, le 10 décembre suivant, il signe comme témoin à la promesse de mariage entre Charles Le Moyne de Longueuil et de Châteauguay et sa cousine, Catherine Thierry. Avec l?arrivée de cette recrue de 120 colons, la crainte de devoir abandonner Ville-Marie, en butte aux violentes et fréquentes attaques iroquoises, se trouvait désormais écartée. Les colons quittèrent le fort pour habiter leurs maisonnest repris avec plus de vigueur. Les Iroquois, toutefois, continuaient de harceler les colons, les tuant et les capturant à l?occasion. C?est ainsi qu?à l?automne de 1654 le jeune Michel Messier fut capturé; il fut libéré l?été suivant et conduit à Ville-Marie par un capitaine agnier nommé « La Grande Armée » au moment où des capitaines iroquois, détenus au fort, furent échangés contre tous les prisonniers français. Par la suite, Messier s?intéressa au défrichement et, le 4 novembre 1657, alors âgé de 17 ans, il acheta de Charles Le Moyne une terre de 30 arpents dite « la provençale » au prix de 900ª. Le 18 février 1658, devant le notaire Bénigne Bae avec Anne Le Moyne, s?ur de Charles, en présence des notables de la ville. Le 25 suivant, le mariage fut célébré dans la chapelle de l?Hôtel-Dieu. De cette union naquirent huit filles et quatre garçons. En 1661, les incursions iroquoises reprirent à Ville-Marie, après une brève interruption due à l?exploit de Dollard Des Ormeaux au Long-Sault. Le 24 mars, Michel Messier fut de nouveau capturé avec quelques colons. Le 22 JUN, des Iroquol asier avait été brûlé par les Onontagués et qu?ils ignoraient si ce dernier était encore vivant. Mais, à la fin de 1663, Messier était de retour dans sa famille après s?être évadé. Le 26 novembre 1665, les Sulpiciens lui cédèrent une terre de 30 arpents, près du terrain qu?il possédait déjà. Dans l?acte de concession, il est appelé Michel Messier, dit le grand Saint-Michel. Le recensement de 1677 indique qu?il a ses en valeur. Le 14 mai 1668, Messier et son beau-frère Jacques Le Moyne de Sainte-Marie reçurent conjointement le fief du Cap-de-la-Trinité qu?ils se partagèrent le 1er août 1676; la partie de Le Moyne s?appela Notre-Dame ou Cap-de-la-Trinité, et celle de Messier, Cap-Saint-Michel. Le 5 août 1678, Messier, lieutenant de milice à Ville-Marie, témoigna dans l?enquête de Buade de Frontenac, visant à connaître la façon dont étaient accordés les emplacements sur lesquels s?élevaient les baraques temporaires, dites « boutiques volantes », lors de la foire des fourrures. Le 4 octobre suivant, Messier achetait le fief de La Guillaudière, ayant 30 arpents de long sur une lieue de profondeur, et étant adjacent au sien. En 1684, Messier participa à l?expédition de Le Febvre de La Barre contre les Iroquois. Le 14 août, lors de la revue de l?armée faite au fort Frontenac, il est inscrit comme commandant de la barque la Générale. À son retour, Messier reçutee pour le pays des Outaouais. Il s?y rendit l?année suivante, après avoir fait son testament le 25 mai. En 1692, Frontenac lui accorda un autre congé et, le 2 mai, avant son départ, Messier donna une procuration à sa femme devant le notaire Bénigne Basset. Au cours de ce voyage, Messier courut de graves dangers. Il ne semble pas avoir obtenu d?autres congés; aussi, est-il possible qu?il se soit établi par la suite sur un de ses fiefs, constituant en 1692, avec les fiefs du Cap-de-la-Trinité, de Varennes et de l?île Sainte-Thérèse, la paroisse de Sainte-Anne de Varennes. Le 3 novembre 1725, Messier était inhumé à l?âge de 85 ans, dans la même paroisse de Varennes, suivant sa femme de quelques mois. Le 4 janvier 1726, l?inventaire de ses biens fut dressé devant le notaire Marien Tailhandier, dit La Beaumeee ses pionniers qui avait participé activement à la défense de la colonie, au défrichement de la terre et à la traite des fourrures. Claude Perrault AJM, Greffe de Bénigne Basset, 4 nov. 1657, 18 févr. 1658, 20 mars, 20 mai 1660, 17 SEP. 1676, 2 mai 1692; Greffe d?Hilaire Bourgine, 25 mai 1685; Greffe de Lambert Closse, 10 déc. 1653; Greffe de Claude Maugue, 4 oct. 1678; Greffe de Marien Tailhandier, 4 janv. 1726; Registre d?état civil de Boucherville, 31 janv. 1679; Registre d?état civil de Notre-Dame de Montréal, 1658, 1661. ? Archives judiciaires de Richelieu, Registre d?état civil de Sainte-Anne de Varennes. ? Dollier de Casson, Histoire du Montréal, 80, 111, 155, 241. ? Ordonnances de Mr. Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve, premier gouverneur de Montréal, dans Mémoires et documents relatifs à l?histoire du Canada, « MSHM », III, 1860), 142. ? P.-G. Roy, Inv. concessions, II : 117s. ? Tanguay, Dictionnaire, I : 427. ? R.-J. Auger, La grande recrue de 1653, Montréal, 1955), 29. ? Sulte, Hist. des Can. fr., IV. ? Matthieu-A. Bernard, Sainte-Anne de Varennes, BRH, IV, 1898, : 129. © 2000 University of Toronto/Université Laval | MESSIER Michel (I42795)
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1612 | Michel Baugis a eu son fils Jean Baptiste Baugis à l'âge de 27 ans d'une relation avec Marie Madeleine Gosselin alors âgée de 15 ans, fille de sa deuxième épouse Marie Michelle Miville, 41 ans, veuve de Michel Gosselin. L'enfant n'a pas eu la chance de survivre et est décédé au bout de cinq jours. | BAUGIS Michel (I45858)
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1613 | Michel Gamelain de La Fontaine, chirurgien et seigneur de Sainte-Anne-de-la-Pérade dans la seconde moitié du 17è siècle. Homme fort respectable, Gamelin avait servi comme capitaine dans la milice canadienne sous le commandement du colonel François-Marie Picoté de Belestre contre les Américains en 1775 et avait été à ce titre l’un des défenseurs du fort Saint-Jean, sur le Richelieu. Il exerçait les fonctions de juge de paix du district de Montréal vers la fin du 17è siècle. | GAMELIN Michel (I49577)
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1614 | MIVILLE, PIERRE, dit le Suisse, maître menuisier, pionnier et capitaine de la côte de Lauzon, décédé le 14 octobre 1669 - Suisse de naissance, Miville vint au Canada par La Rochelle à une date incertaine, mais antérieure au 28 octobre 1649, jour où il reçut du gouverneur Louis d’Ailleboust, en même temps que son fils François, une concession de terre, élevée plus tard au rang d’arrière-fief, dans la seigneurie de Lauzon. Miville semble avoir essayé d’attirer quelques-uns de ses compatriotes au Canada. En effet, le 16 juillet 1665, M. de Prouville de Tracy lui accordait, ainsi qu’à ses fils et à quatre autres individus, une concession de 21 arpents par 40, à la Grande Anse, La Pocatière), dénommant l’endroit « Canton des Suisses Fribourgeois ». Cette entreprise n’eut pas de succès. Pierre Miville demeura à Lauzon jusqu’à sa mort, le 14 octobre 1669. Il avait épousé en France Charlotte Maugis, qui lui donna au moins six enfants ; l’un d’eux, Jacques, a été la souche des familles Miville-Deschênes de l’Amérique du Nord. - Honorius Provost - Le Canton des Suisses Fribourgeois, BRH, XX, 1914, : 233s.- J.-E. Roy, Hist. seign. Lauzon, I :69-71. © 2000 University of Toronto/Université Laval | MIVILLE Pierre, dit Le Suisse (I7902)
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1615 | Monseigneur Courtois a fourni un certificat de publication des bans dans sa paroisse l'Enfant Jésus-de-la-Pointe-aux-Trembles. | Famille: / LAUZON Marie Madeleine (F26)
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1616 | Mort accidentelle, tombé d'un échafaud | BOUVIER Michel (I88662)
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1617 | Mort par noyade | SAUTON Martial (I52958)
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1618 | Morte d'un « coup de tonnerre » | VIVIER Jacquette (I54094)
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1619 | N'est pas venu au Canada | GAUDRY Jacques (I17722)
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1620 | N'est pas venu au Canada | GAREAU Dominique (I19548)
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1621 | N'est pas venu au Canada | LEMOINE Pierre (I42799)
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1622 | N'est pas venu au Canada | MAGUET Augustin (I52545)
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1623 | N'est pas venue au Canada | BARIL Julienne (I7913)
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1624 | N'est pas venue au Canada | AUVRAY Judith (I8491)
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1625 | N'est pas venue au Canada | DUCHESNE Judith (I42800)
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1626 | N'est pas venue au Canada. Soeur de Louis Pinard marié à Marie Madeleine Hertel | PINARD Marie (I19471)
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1627 | Naissance avant cette date de son mariage | DENEVERS Élisabeth Ursule (I6794)
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1628 | Naissance avant cette date de son mariage | FONTAINE Louis (I8343)
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1629 | Naissance avant cette date de son mariage | GAUTHIER Marie Judith (I11043)
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1630 | Naissance avant cette date de son mariage | HAMEL Élisabeth Ursule (I17585)
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1631 | Naissance avant cette date de son mariage | GAUTHIER Simon (I17615)
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1632 | Naissance avant cette date de son mariage | NAULT Marie Isabelle (I17616)
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1633 | Naissance avant cette date de son mariage | DENEVERS Jean, dit Boisvert (I17841)
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1634 | Naissance avant cette date de son mariage | ARCAND Simon, dit Bourdelais (I17872)
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1635 | Naissance avant cette date de son mariage | LABERGE Jacques (I17925)
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1636 | Naissance avant cette date de son mariage | POITEVIN Marie (I17926)
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1637 | Naissance avant cette date de son mariage | SAINT-AMAND Louis Joseph (I18010)
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1638 | Naissance avant cette date de son mariage | GIROUX Marie Thérèse (I18016)
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1639 | Naissance avant cette date de son mariage | PINARD Jean (I19468)
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1640 | Naissance avant cette date de son mariage | GAIGNEUR Marguerite (I19469)
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1641 | Naissance avant cette date de son mariage | MARCOTTE François De Sales (I21244)
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1642 | Naissance avant cette date de son mariage | MARCOTTE Jean Baptiste (I21246)
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1643 | Naissance avant cette date de son mariage | PAQUIN Marie Émilie (I21247)
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1644 | Naissance avant cette date de son mariage | GARNIER Louise Catherine (I21263)
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1645 | Naissance avant cette date de son mariage | LANGEVIN Mathurin (I28311)
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1646 | Naissance avant cette date de son mariage | DISLE Françoise (I28312)
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1647 | Naissance avant cette date de son mariage | DISLE Jacques (I28313)
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1648 | Naissance avant cette date de son mariage | FOUREAU Françoise (I28314)
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1649 | Naissance avant cette date de son mariage | HOUDE Marie Louise (I29459)
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1650 | Naissance avant cette date de son mariage | GAUTHIER Catherine (I37070)
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